Les humains ont toujours été extrême et préoccupés par la fin du monde, de l’apocalypse biblique au passage à l’an 2000, en passant par le calendrier maya se terminant en 2012.
En vérité, un grand nombre de catastrophes naturelles pourraient faire disparaître l’ensemble de l’humanité, comme un astéroïde détruisant la planète.
Le jour où cela se produira, nous ne nous en sortirons peut-être pas vivants, mais cela ne veut pas dire que la vie sur Terre cessera d’exister.
La planète pourra toujours compter sur les insectes pour avoir de nouveaux habitants.
Elle est le seul insecte endémique du continent glacé. La larve est capable de survivre deux hivers de suite dans des conditions extrêmes, possède un génome «minuscule», le plus petit jamais identifié chez un insecte, ont découvert des biologistes.
Chaque hiver, les larves de cette mouche sans aile qui vit sur des les massifs rocheux de la péninsule antarctique perdent près de la moitié de leur poids. Elles résistent également aux conditions climatiques locales, avec des vents pouvant atteindre 140 km/h.
Elles survivent à une concentration en sel élevée et à des rayonnements ultraviolets intenses. Parvenu au stade adulte, la mouche aptère vit à peine plus d’une semaine. Cela lui laisse juste le temps de se reproduire et de pondre pour poursuivre le cycle biologique de son espèce.
Ces prouesses sont accomplies avec un génome de seulement 99 millions de paires de base (les briques élémentaires de l’ADN), soit 32 fois moins qu’un être humain (3,2 milliards de paires de base).
«C’est minuscule. Ca été une surprise énorme», assure dans un communiqué Joanna Kelley, biologiste à l’Université américaine de l’État de Washington, qui a participé au décryptage du génome de la bestiole.
Par comparaison avec les moustiques ou d’autres espèces de mouche, la Belgica antarctica est dotée d’un génome très «économe» où les séquences génétiques ne produisant pas de protéines sont réduites au strict minimum.
Un génome hors du commun «qui pose de nombreuses questions sur l’évolution génétique des espèces. Qu’est ce qui permet ou empêche un génome d’être très grand ou très petit? Et quelles en sont les conséquences?», souligne Joanna Kelley.
L’ADN de cette mouche renferme des gènes cruciaux liés au transport de l’eau de part et d’autre de l’enveloppe des cellules. La plupart des insectes peuvent survivre après avoir perdu jusqu’à 20% de l’eau contenue dans leurs cellules, mais la mouche de l’Antarctique, elle, peut en perdre 70% sans flancher.
«Elles ressemblent à de petits raisins secs tout desséchés, et lorsque vous versez de l’eau dessus, elles gonflent d’un seul coup et reprennent leur petit bonhomme de chemin», raconte David Dellinger, entomologiste à l’Université d’Ohio et co-auteur de l’étude.
«Être capable de résister à une déshydratation extrême, c’est l’une des clefs de la survie à basse température. Cette mouche possède un mécanisme lui permettant d’être à la fois déshydratée et vivante, avec des cellules qui fonctionnent normalement», explique-t-il.
La mouche a été baptisée «Belgica» en hommage au navire belge d’exploration scientifique du même nom, dont l’équipage avait été le premier au monde à hiverner en Antarctique, de 1897 à 1899.
Tullbergia fait partie d’un groupe d’arthropodes, les collemboles, apparenté aux insectes. Peu de gens ont entendu parler de ces organismes dépourvus d’ailes, bien que le sol de votre jardin en abrite probablement des millions.
On trouve ces minuscules arthropodes partout dans le monde et quelques espèces vivent dans les rares terres non recouvertes de glace qui parsèment l’intérieur de l’Antarctique, endroits où la nourriture est rare, si ce n’est des bactéries ou des champignons microscopiques occasionnels.
Il s’avère que l’espèce des blattes germaniques se rapprochent de plus en plus de l’invincibilité.
Le fait que les cafards développent une résistance à plusieurs classes d’insecticides à la fois rendra la maîtrise de ces insectes nuisibles presque impossible avec les seuls produits chimiques. En fait, ils ne peuvent pas être tués avec un seul type d’insecticide.
De plus, les cafards peuvent manger n’importe quoi, même de la nourriture pourrie, avoir une “famille élargie de gènes d’immunité”.
Leur taille peut atteindre une longueur de 5 cm. On aurait même vu des cafards courir autour des décombres après le largage des bombes atomiques à Hiroshima et Nagasaki.
Enfin, il aurait été prouvé que les cafards peuvent survivre à une quantité équivalente de radiation.
Certaines variétés de fleurs agissent comme rempart contre les nuisibles du potager. En effet, en plantant de la lavande, des oeillets d’Inde, du souci, mais aussi de la capucine ou du bleuet juste à côté des légumes, vous empêcherez les ravageurs de se nourrir de vos cultures.
Ainsi, planter des fleurs au potager est la solution parfaite pour embellir le jardin, tout en éloignant les nuisibles et en évitant l’utilisation des insecticides chimiques et polluants.
Il existe plusieurs solutions pour protéger son potager des nuisibles de manière efficace.
Le mieux serait de miser sur des astuces écologiques et pas chères : Utilisez des épluchures et ne jetez plus les peaux de bananes, de citron ainsi que les coquilles d’œuf : elles peuvent servir pour votre jardin. Eparpiller de la cendre de bois peut aussi servir à repousser les limaces notamment.
Il faut aussi miser sur des objets brillants pour empêcher les oiseaux de grignoter vos récoltes.
Si vous souhaitez en apprendre plus sur les insectes, nous vous invitons à visiter le forum Insecterra.
Les parasites sont divisés en trois catégories :
– Insectes rampants : blattes ou cafards, fourmis, puces, punaises de lit.
– Insectes volants : guêpes, bourdons, moustiques, mouches, abeilles, mites, mites des vêtements.
– Foreurs du bois (xylophages) : termites, Capricorne, fourmis des bois, vers à bois.
Oui, il existe de nombreux ordres d’insectes dont il n’est pas question dans ce guide.
Cependant, si vous souhaitez en apprendre plus, nous vous invitons à visiter nos pages Entomologie et Traitement des nuisibles où il est détaillé d’autres ordres d’insectes.
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